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Le SPVM réfère les victimes qui le consentent au CAVAC de Montréal qui par la suite réfère les victimes les CLSC pour un suivi psychosocial.
Protocole conclu entre Côté Cour, le SPVM et le Bureau des Procureurs aux poursuites criminelles et pénales qui permet d’informer rapidement les victimes de violence conjugale des conditions de remise en liberté, de faire un dépistage précoce des enfants exposés à la violence conjugale et de référer, au besoin, ces personnes aux ressources appropriées.
Note : Au rapport annuel 2006-2007 du CAVAC de Montréal, il était indiqué que les événements de violence familiale (74/574) venaient en 3e position derrière les voies de fait (123/574) et les vols qualifiés (78/574) concernant les demandes effectuées en regard du service d'intervention 24/7. CAVAC - Centre d'aide aux victimes d'actes criminels - Montréal, Rapport annuel 2006-2007, juin 2007, p. 10
Protocole conclu entre le SPVM, les maisons d’hébergement, Côté Cour, CAVAC et l'IVAC permettant aux victimes de violence conjugale de bénéficier gratuitement d’un système d’alarme et d’un bouton panique raccordés directement (optionnel) à une centrale de surveillance.
Formulaire d’autorisation – protocole d’entente IS
Protocole conclu entre le SPVM, les maisons d’hébergement ou d’autres organismes œuvrant dans le domaine de la violence conjugale établissant des mesures sécuritaires lors de la récupération des biens personnels de la victime au domicile conjugal.
Guide d'utilisation du formulaire
Lorsque l'accompagnement est autorisé par l'organisme référent :
L'intervenante et la personne qu'elle accompagne doivent :
Lorsque l'accompagnement est jugé trop risqué et n'est pas autorisé par l'organisme référent
Sur réception de ce formulaire, le SPVM
SOS violence conjugale, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et 20 Maisons d’hébergement de Montréal ont signé un protocole leur permettant une collaboration dynamique et efficace en matière de disparition.
Ce protocole permet de mettre fin aux recherches policières lorsqu’une femme portée disparue a trouvé refuge dans une Maison, et ce, tout en assurant la confidentialité du lieu d'hébergement puisque le protocole ne permet ni à SOS violence conjugale ni au SPVM de savoir où la victime est hébergée.
Protocole de collaboraton en matière de disparitions
Pour plus d’information :
Joane Turgeon
Directrice générale
SOS violence conjugale
514-728-0023
Protocole de nature clinique conclu entre les maisons d’hébergement, les organismes oeuvrant auprès des conjoints violents, le Centre jeunesse de Montréal, le Centre de la jeunesse et de la famille Batshaw, le SPVM, Côté Cour et les CSSS et visant le dépistage, la référence et l’offre de services adaptés et spécifiques aux enfants exposés à la violence conjugale. Consultez la boîte à outils pour en savoir davantage.
Protocole de collaboration intersectorielle pour les enfants exposés à la violence conjugale
Discussion entre deux ou plusieurs partenaires concernant la situation personnelle ou familiale d’une cliente ou d’un client et permettant de recueillir des informations factuelles, de connaître les services disponibles, de préciser une intervention, d’évaluer une situation, de déterminer une orientation, d’actualiser un plan d’intervention ou d’élaborer des plans de services individualisé, etc. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
En vue d’assurer l’accès et la continuité d’intervention auprès des enfants exposés à la violence conjugale, prendre contact avec un autre partenaire pour solliciter des services complémentaires ou supplémentaires. L’organisme demandeur peut demeurer saisi du dossier. Le demandeur peut conserver une responsabilité clinique dans le dossier. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
Modalités :
En vue d’assurer l’accès et la continuité d’intervention auprès des enfants exposés à la violence conjugale, prendre contact avec un autre partenaire pour solliciter des services complémentaires ou supplémentaires. L’organisme demandeur n’est plus saisi du dossier. Le demandeur ne conserve pas de responsabilité clinique dans le dossier. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire.
En vue d’assurer la continuité des services pour les enfants exposés à la violence conjugale et leurs familles, favoriser la communication et la transmission d’informations pertinentes entre les intervenantes et intervenants impliqués. La collaboration entre les partenaires devrait permettre des échanges cliniques visant l’amélioration des services offerts aux familles aux prises avec la violence conjugale. Lorsque jugées à propos, la présence et la participation de la cliente ou du client sont favorisées.
Des plans de services individualisés peuvent aussi être élaborés par les partenaires impliqués en vue de coordonner et d’harmoniser les interventions. Ceux-ci peuvent être modifiés en tout temps pour tenir compte de circonstances nouvelles. Un formulaire d’autorisation dûment signé par la cliente / le client est nécessaire pour chacun des partenaires.
Dès que plus d’un partenaire est impliqué, les échanges cliniques sont recommandés. Ceci devient une stratégie d’intervention supplémentaire. Ces échanges doivent se dérouler dans la confidentialité et la sécurité des familles.